
Le report des Jeux de Tokyo a été salué par le mouvement sportif international comme une « sage décision », mais il ne fait pas les affaires des fédérations internationales. Très affectées par la pandémie de coronavirus et l’arrêt des compétitions, elles doivent faire face à une situation économique très incertaine et une trésorerie en souffrance.
Pour les plus fortunées, la crise actuelle ne devrait pas menacer l’avenir à court terme. Pour les autres, rien n’est moins sûr. Jean-Christophe Rolland, le président de la Fédération internationale d’aviron (FISA), par ailleurs membre du CIO, l’a expliqué à FrancsJeux.