Moins de deux mois ont passé depuis la double explosion dans le port de Beyrouth qui a provoqué la mort d’au moins 192 personnes. La capitale libanaise peine à se relever d’une catastrophe dont l’impact est amplifié par la crise économique et politique. Les travaux de reconstruction sont ralentis. Le pays n’a toujours pas de gouvernement.
Le sport ? Lui aussi est touché. A plusieurs niveaux. Les dégâts sont importants, les ressources quasi inexistantes. Et les perspectives extrêmement sombres. Jean Hammam, le président du comité olympique libanais, l’a expliqué à FrancsJeux.
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Publié en partenariat avec FrancsJeux
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